Les bâtiments existants sont-ils l’avenir de l’habitat participatif ?

Les bâtiments existants sont-ils l’avenir de l’habitat participatif ?

 

Telle était la thématique du "2e cercle" du réseau local de l'habitat participatif, le 22 mars dernier.

En France, ce sont plus de 200 projets d'habitats participatifs qui se sont créés dans les bâtiments anciens. Les avantages sont connus : des projets en moyenne plus rapide que pour la construction neuve, une limitation de l'artificialisation des terres, une mixité des fonctions (habitat, activités économiques, arts et culture), un catalyseur souvent pour le développement des territoires plus ruraux...

 

La rencontre du 22 mars a été l'occasion d'un échange riche en témoignages, entre habitants, agents de collectivités et professionnels. La rencontre a débuté avec le témoignage de Sylviana, co-fondatrice de l'écolieu MaTerre à la Broque :

"En général, on forme d’abord un groupe mais on connaissait les difficultés des entrées, sorties, de la constitution du groupe et finalement, on a réussi à monter un projet en un espace temps très réduit, 6 mois. On a réussi à faire ça parce qu’on est un peu fous et qu’on a évité les problématiques de groupe. On a rien dit à la banque de l’habitat participatif. Simplement qu’on voulait investir dans une résidence principale et investir dans du locatif.

Les bâtiments existants sont-ils l’avenir de l’habitat participatif ?

“On est d’abord tombé amoureux du site, puis on s’est rendu compte que c’était à 8 min d’une gare, 10 min d’une école et des commerces...

Sylviana Guillou, architecte et co-fondatrice du projet MaTerre à la Broque (67)


 

 

Vous voulez retrouver la suite des témoignages et des échanges entre participants ?

Télécharger directement le compte-rendu :  Restitution 2eme cercle

 

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